7.4.6.6 Données des éléments

Donner les nombres des lignes qui soient nécessaires, une par commande.
Les éléments doivent être numérotés en ordre croissant, commençant par 1.

note colonnes variable définition
1 1-5 inel numéro de l'élément
$1 \leq \texttt{M} \leq \texttt{NPAR(2)} $
  6-15 inodi noeud $I$ local
  16-25 inodj noeud $J$ local
1 26-35 inc incrément pour la génération automatique
= 0, mis à 1 par défaut
  36-40 imbt numéro de la section de l'élément
  41-45 iec numéro de la zone rigide de l'élément
par défault pas de zone rigide
  46-50 iksfi numéro du diagramme d'interaction pour la rotule placé au noeud $I$
  51-55 iksfj numéro du diagramme d'interaction pour la rotule placé au noeud $J$
  56-60 IPS code d'impresion de forces de la poutre sur le fichier PREFIXE.mnt
=0, pas d'impresion
=1, impresion
2 61-70 inodk noeud de référence pour la poutre
inutile en 2D

notes

  1. Donner le numéro de l'élément ou le numéro du premier élément d'une éventuelle séquence d'éléments à générer.
    Il faut absolument donner le dernier élément de la séquence sur la ligne suivante.
    Si les lignes des éléments ($inel+1$,$inel+2$,.....,$inel+j$) manquent, les $j$ éléments sont générés en prenant imbt, iec, iksfi, iksfj et IPS de l'élément inel et leurs noeuds sont obtenus à partir des noeuds donnés sur la ligne de l'élément inel incrémentés de inc.
    Dans le cas 3D, le même noeud de référence inodk de l'élément inel est utilisé pour les éléments générés.
  2. Le noeud inodk est seulement utilisé pour définir le plan $r-s$ et aucun degré de liberté ne lui est associé. Si le noeud inodl n'est pas un noeud à considérer dans l'assemblage des éléments, il faut bloquer tous ses degrés de liberté aux moment d'entrer les données nodales (cf §2.2).
    Le noeud inodk ne doit pas être co-linéaire avec les noeuds inodi et inodj.

Figura 7.24: Repère local et règle de description
\begin{figure}\begin{center}
\epsfig{file=figures/npar33_fig3.eps,clip=,width=.4\textwidth}
\end{center}
\end{figure}

Esteban Saez 2010-12-30